La SASU Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle est la forme juridique conseillé par nos avocats et nos consultants juridique lorsque vous vous lancé seul. Sa libre fixation de nombreuses clauses présente de nombreux avantages, et les mêmes caractéristiques qu’une SAS. Elle permet également de protéger vos biens personnels et ceux de votre conjoint. Structure flexible et souple dans son fonctionnement, elle offre une grande possibilité d’organiser votre entreprise facilement avec toujours une responsabilité limitée de l’actionnaire unique à ses apports en capital librement fixé (1 euro minimum).
Dirigée par un président et éventuellement de Directeurs Généraux Le président peut être un tiers voire une personne morale (idéal pour constituer une holding).
Par comparaison une SASU est souvent comparé à une EURL si vous souhaitez avoir plus de détails de comparaison avec les différentes formes juridique, nos experts ont mis ce tableau pour vous...
La SASU est une société à un actionnaire (Associé) qui peut être une personne physique ou morale(c’est-à-dire une autre société), sans condition de nationalité ou âge
La SASU est soumise à l’impôt sur les sociétés (IS). En pratique, cela signifie que c’est la SASU qui paye directement des impôts sur le résultat réalisé. SI le résultat est négatif, il n’y aura donc pas d’IS à payer.
Les dividendes distribués à l’associé personne physique, devront être portés sur sa déclaration annuelle de revenus, dans la catégorie “revenus mobiliers”. Depuis le 1er janvier 2018, les dividendes sont imposés à un taux fixe de 30% comprenant l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux.
Une fois le résultat imposé, les bénéfices peuvent suivant la décision de l’actionnaire, être distribués ou non. S’ils le sont, l’actionnaire unique sera imposé personnellement à hauteur de 15,5 % de CSG puis à l’impôt sur le revenu après un abattement de 40 %.
En cas d’option, il est possible d’opter pour l’impôt sur le revenu (IR) au moment de la création de la SASU. La société sera alors soumise à l’IR pour une durée de 5 ans maximum.
Les conséquences de l’option ne sont pas négligeables, puisque ce n’est plus la rémunération qui est imposable à l’impôt sur le revenu mais le résultat de la société.
Les bénéfices sont dans un premier temps taxés de 8% CSG (15,5% si l’actionnaire n’est pas le président) puis soumis au barème progressif de l’IR.